Olivier Ramel

  • Né en 1947
  • Economiste retraité
  • Conseiller communal, commission des finances
  • Membre du comité des Cartons du cœur de l’Ouest lausannois et Licencié actif du Club de tennis de table de Crissier
  • Habitant du quartier Centre

 

Nichée au coeur du plus grand noeud autoroutier de Suisse Romande, les autorités crissiroises ont longtemps défendu l’idée du village où il faut bon vivre… Or, après quelques années de densification et de développement économique, le concept de village où il fait bon vivre est vide de sens. C’est des problèmes urbains que nous devons résoudre, aujourd’hui. De transports collectifs, d’énergies, d’intégration, de logement, d’activités culturelles et sportives. Nous savons qu’il est plus facile de résoudre des problèmes lorsqu’on dispose de moyens. Un équilibre économique dans la gestion communale est nécessaire.

En disant cela, j’ai enfoncé beaucoup de portes ouvertes. Chaque candidat dira être prêt à se battre pour ces valeurs. La vérité est que près de 80 % des préavis communaux sont acceptés à l’unanimité. Pour 20 % des autres préavis, il y a de la bagarre. Et moi, j’aime ça…